Bonjour lecteur ou contributeur,
Ici, vous entrez dans l'histoire d'un regroupement de personnes qui ne se connaissaient pas il y a encore quelques semaines. Chacune d'elles avait choisi d'intégrer la session Région Centre-Val de Loire de l'automne 2019 du dispositif Animacoop . Dans le déroulement de celui-ci, la séquence "Production Ouverte Partagée (¨POP) " a incité chacune de ces personnes à devenir membre du groupe POP traitant la thématique : "La question du temps dans les projets collaboratifs". "Le temps, le temps, le temps et rien d'autre, le tien, le mien, celui qu'on veut nôtre"... ...qu'on aimerait bien nôtre plutôt :-)
C'est l'histoire de ce chemin de co-apprentissage à "Faire ensemble en contexte complexe" et du renforcement des capacités des membres de ce groupe à coopérer que nous vous partageons ici. "Rendez vous en territoires coopératifs : enjeux et difficultés du Faire ensemble en contexte complexe" pourrait être le nom du document multi-plurimédia (un commun de la connaissance ? ) que nous vous livrons ici dans sa Version 1 rendue possible grâce :
- à un jalonnement de moments hybrides (présence/distance, synchrone/asynchrone) particuliers
- des briques de productions nourrissant le livrable dans sa version 1 = Produit Minimum Viable, version stabilisée dans un certain état d'avancement à un instant T dans un contexte particulier. Le partage sincère de l'approche POP doit permettre à qui veut, à qui le souhaite de jardiner d'autres versions, d'autres états de productions futures : des continuateurs.rices dans la salle ?
C'est l'histoire d'une situation inédite, celle de la réunion de 7 identités dans un espace temps spécifique et de la construction de leur stratégie d'alliance :
- l'histoire d'un co-apprentissage au "Faire ensemble ", Vouloir-Pouvoir-Savoir coopérer en vue de produire un impact collectif en partant d'intelligences individuelles pour tendre vers une intelligence synergique
- l'histoire du développement de la proximité organisée de ce groupe, c'est-à-dire sa capacité à créer un cadre favorisant les interactions entre ses membres
- l'histoire d'un co-pilotage qui a dû prendre en compte la réalité qui l'environnait (ressources à disposition)
>>Hé oui, ils en avaient :
-- l'intention, la volonté, l'ambition mais ...
-- l'envie, l'aspiration mais...
-- ils avaient des attentes, des besoins mais....
- c'est l'histoire de leurs découvertes d'enjeux, de concepts, de cadres, de méthodes, de démarches, de dispositifs, d'outils "boussoles" visant à faciliter le développement d'une maturité coopérative et celle des capacités réelles à adopter et à intégrer ces outils dans les quotidiens opérationnels des uns et des autres....
Ça calme, ça engage à rester humble et à nourrir l'exigence de considérer l'implicite afin de ne pas être dans le déni qui nourrit les points aveugles de la quasi totalité des zones auto-déclarées coopératives car « Vous ne pouvez pas faire grandir une plante en lui tirant sur les feuilles. Ce que vous pouvez faire est de mettre en place un écosysteme qui sera favorable à sa croissance » (Étienne Wenger ):
- la coopération ça ne se décrète pas
- la coopération ça ne tombe pas du ciel
- la coopération ce n'est pas une mince affaire
- on ne nait pas coopérateur, on le devient :
>> "Les valeurs coopératives face au vide abyssal de nos sociétés" (Michel Adam)
>> L'émancipation professionnelle est l'objet même du projet coopératif
>> La coopération, cette compétence essentielle du XXIème siècle
-...
"Pourtant, l’idée est tenace que la coopération va de soi à partir du moment où l’on s’embarque dans un projet collectif, sans avoir besoin de s’en saisir comme un sujet à part entière. On parle coopération, on feint (souvent en toute bonne foi) la coopération, on utilise les outils de la coopération, peut-être même collabore-t-on, mais on n’est pas (au plein sens du verbe ETRE) en coopération, c’est-à-dire co-auteurs d’une œuvre commune."
Priver la coopération de sa dimension anthropologie et la réduire aux questions de manière de faire ou d’outillage, c’est la priver de son potentiel de transformation sociale, alors qu’elle peut devenir le principal levier de résilience et d’auto-éco-re-organisation des systèmes" "La coopération n'est pas qu'une méthode"
Mais au fait coopération ou collaboration, quelles différences ?
Alors, on embarque ?
Théorique : voir le pad >
Appliqué (Contextualisé) : voir le pad
Ici, vous entrez dans l'histoire d'un regroupement de personnes qui ne se connaissaient pas il y a encore quelques semaines. Chacune d'elles avait choisi d'intégrer la session Région Centre-Val de Loire de l'automne 2019 du dispositif Animacoop . Dans le déroulement de celui-ci, la séquence "Production Ouverte Partagée (¨POP) " a incité chacune de ces personnes à devenir membre du groupe POP traitant la thématique : "La question du temps dans les projets collaboratifs". "Le temps, le temps, le temps et rien d'autre, le tien, le mien, celui qu'on veut nôtre"... ...qu'on aimerait bien nôtre plutôt :-)
C'est l'histoire de ce chemin de co-apprentissage à "Faire ensemble en contexte complexe" et du renforcement des capacités des membres de ce groupe à coopérer que nous vous partageons ici. "Rendez vous en territoires coopératifs : enjeux et difficultés du Faire ensemble en contexte complexe" pourrait être le nom du document multi-plurimédia (un commun de la connaissance ? ) que nous vous livrons ici dans sa Version 1 rendue possible grâce :
- à un jalonnement de moments hybrides (présence/distance, synchrone/asynchrone) particuliers
- des briques de productions nourrissant le livrable dans sa version 1 = Produit Minimum Viable, version stabilisée dans un certain état d'avancement à un instant T dans un contexte particulier. Le partage sincère de l'approche POP doit permettre à qui veut, à qui le souhaite de jardiner d'autres versions, d'autres états de productions futures : des continuateurs.rices dans la salle ?
C'est l'histoire d'une situation inédite, celle de la réunion de 7 identités dans un espace temps spécifique et de la construction de leur stratégie d'alliance :
- l'histoire d'un co-apprentissage au "Faire ensemble ", Vouloir-Pouvoir-Savoir coopérer en vue de produire un impact collectif en partant d'intelligences individuelles pour tendre vers une intelligence synergique
- l'histoire du développement de la proximité organisée de ce groupe, c'est-à-dire sa capacité à créer un cadre favorisant les interactions entre ses membres
- l'histoire d'un co-pilotage qui a dû prendre en compte la réalité qui l'environnait (ressources à disposition)
>>Hé oui, ils en avaient :
-- l'intention, la volonté, l'ambition mais ...
-- l'envie, l'aspiration mais...
-- ils avaient des attentes, des besoins mais....
- c'est l'histoire de leurs découvertes d'enjeux, de concepts, de cadres, de méthodes, de démarches, de dispositifs, d'outils "boussoles" visant à faciliter le développement d'une maturité coopérative et celle des capacités réelles à adopter et à intégrer ces outils dans les quotidiens opérationnels des uns et des autres....
Ça calme, ça engage à rester humble et à nourrir l'exigence de considérer l'implicite afin de ne pas être dans le déni qui nourrit les points aveugles de la quasi totalité des zones auto-déclarées coopératives car « Vous ne pouvez pas faire grandir une plante en lui tirant sur les feuilles. Ce que vous pouvez faire est de mettre en place un écosysteme qui sera favorable à sa croissance » (Étienne Wenger ):
- la coopération ça ne se décrète pas
- la coopération ça ne tombe pas du ciel
- la coopération ce n'est pas une mince affaire
- on ne nait pas coopérateur, on le devient :
>> "Les valeurs coopératives face au vide abyssal de nos sociétés" (Michel Adam)
>> L'émancipation professionnelle est l'objet même du projet coopératif
>> La coopération, cette compétence essentielle du XXIème siècle
-...
"Pourtant, l’idée est tenace que la coopération va de soi à partir du moment où l’on s’embarque dans un projet collectif, sans avoir besoin de s’en saisir comme un sujet à part entière. On parle coopération, on feint (souvent en toute bonne foi) la coopération, on utilise les outils de la coopération, peut-être même collabore-t-on, mais on n’est pas (au plein sens du verbe ETRE) en coopération, c’est-à-dire co-auteurs d’une œuvre commune."
Priver la coopération de sa dimension anthropologie et la réduire aux questions de manière de faire ou d’outillage, c’est la priver de son potentiel de transformation sociale, alors qu’elle peut devenir le principal levier de résilience et d’auto-éco-re-organisation des systèmes" "La coopération n'est pas qu'une méthode"
Mais au fait coopération ou collaboration, quelles différences ?
Alors, on embarque ?
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